Page 1 sur 3

AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 12 oct. 2019, 09:04
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 25/09/2019 - Par Ph. C. - Photo RL/Philippe NEU

Thionville Santé - Une appli pour sauver des vies : secouristes, lancez-vous !
  • Image
Frédéric Leybold, sapeur-pompier et président de l’Association française des premiers répondants (AFPR) présente un projet d’application pour smartphone, mettant en réseau des personnes formées aux gestes de secours. Photo RL/Philippe NEU
Vous êtes secouriste ou souhaitez le devenir ? Vous voulez être donneur d’alerte ? Une application sur smartphone permet la mise en relation entre services de secours et secouristes. Elle a déjà prouvé son efficacité.

Infirmier en réanimation au Luxembourg, Frédéric Leybold a exercé du côté de Thionville comme sapeur-pompier volontaire. Avec quelques collègues, il a créé en mars 2016 l’Association française des premiers répondants (AFPR) et surtout lancé en octobre 2018 une application sur smartphone. L’idée est d’alerter les personnes formées aux premiers secours en cas de malaise, et ce, quel que soit l’endroit. « Il y a quelques années, un de mes voisins a fait un arrêt cardiaque. J’aurais pu intervenir si je l’avais su », explique ce professionnel de la santé, convaincu du bien-fondé de l’information et de la formation aux premiers secours. « Nous avons toujours voulu mettre l’humain au cœur du dispositif et créer un mouvement citoyen », dit-il, avec le projet d’inciter un maximum de monde à être formé au PSC1 sur une demi-journée, et ainsi étoffer le réseau de sauveteurs potentiels.

Intégrer le réseau

« L’idée est à la fois d’encourager les citoyens, mais aussi les commerçants, les chefs d’entreprise et leurs employés à faire partie du réseau. Nous avons 1 300 inscrits depuis le 1er juillet ». Depuis la mise en service de l’appli en question, sur 70 interventions de premiers répondants, 33 sont arrivés avant les secours, et un massage cardiaque a été prodigué dans 13 cas. Des interventions qui ont permis de transporter vivantes six personnes vers un centre hospitalier ».

Frédéric insiste sur le fait de pouvoir développer le nombre de personnes formées aux premiers secours dans les zones rurales et semi-rurales. « Nous travaillons beaucoup avec les agents communaux, la police nationale et municipale. On ne va pas faire de miracle et on ne pourra pas sauver tout le monde, mais l’objectif est d’augmenter le taux de survie », ajoute l’infirmier, ravi de pouvoir fédérer dans un même élan Samu, sapeurs-pompiers et policiers.

Outre le fait que l’application ait déjà permis de sauver des vies, une initiative de taille est à mettre au compte de l’AFPR : « mise en place à partir de 2020 d’une base de données nationale des défibrillateurs placés dans les lieux publics par le ministère de la Santé à partir de 2020. Arnaud Thierien, directeur général adjoint de l’Amicale de la Police nationale (amicalepn), Frédéric Leybold et Alain Dann, référent national des sapeurs-pompiers au sein de l’Amicale de la police nationale, viennent de se rencontrer à Sarreguemines.

« L’association française des premiers répondants sauve des vies grâce à une application. Elle avait besoin d’un soutien et de financements, notre amicale agit beaucoup pour prévenir contre le suicide au sein de la police, mais soutient aussi les initiatives d’aide aux enfants malades », précise Arnaud Therien. « Le but est de rapprocher les agents du ministère de l’Intérieur et la population civile, l’Amicale contribuera à former les candidats aux gestes de premier secours. C’est d’autant plus intéressant que l’idée n’émane pas d’une administration mais du monde associatif. »

http://www.afprappli.com

Ph. C.

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 19 oct. 2019, 11:59
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 29/09/2019 - Photo RL / Karim SIARI

Politique locale - Fin de mandat : les maires non plus ne lâchent rien
  • Image
L’assemblée des maires de Moselle a permis d’obtenir quelques réponses. Photo RL/Karim SIARI
Pour beaucoup de maires, cette assemblée générale à Metz Congrès était leur dernière. Les élections sont en vue, mais les dossiers restent chauds. Manque de moyens, problèmes forestiers et chambres funéraire : les questions au Préfet étaient nombreuses.

L’assemblée générale des maires de Moselle offre un plaisir simple : entendre une variété d’accents aux couleurs des pays du fer et du charbon. Mais trêve de retrouvailles, c’est l’heure de la convention. La dernière pour Dominique Gros, maire de Metz, qui ouvre le ban. Hommage à Jacques Chirac, coup de chapeau aux maires et « Gluck auf » ou « Bonne chance » à ceux qui partent en campagne.

Trois informations
  • Sauveteurs en réseau. L’Association française des premiers répondants maille le territoire de sauveteurs, professionnels ou amateurs formés au secourisme, afin de réduire, par une application, le temps d’intervention auprès d’une personne en détresse. Les maires pourraient se faire les ambassadeurs de ce réseau.

    Forêts fiévreuses. Le dérèglement climatique fragilise les forêts. Les attaques de scolytes , de chenilles processionnaires, se multiplient. Selon le président des communes forestières, les maires doivent se mettre au chevet de leurs forêts et réfléchir au remplacement.

    Patrimoine à restaurer. Difficile pour les communes de restaurer leur patrimoine, monument ou site naturel. La Fondation du patrimoine (rendue célèbre par Stéphane Bern) a présenté ses missions, consistant notamment à aider au financement des projets.
Deux questions
  • Pourquoi ne remet-on pas en transports voyageurs les petites lignes vers le Luxembourg, pour désengorger les routes, dont la fréquentation en hausse perturbe les villages ? Réponse du préfet et des représentants de la Région : on inscrit cette question dans le Grenelle des mobilités.

    Pourquoi l’État bloque-t-il l’utilisation des dépositoires (chambres funéraires communales), décision qui complique la vie des habitants ? Réponse du préfet : c’est la loi. Mais les communes pourront être accompagnées pour se mettre en conformité.
Un coup de gueule

Celui de Céleste Lett, président des maires de Moselle, en termes courtois mais fermes contre l’État qui ne facilite pas le travail de gestion des communes (fiscalité, services publics, inertie sur l’accueil des gens du voyage, effectifs des écoles…).

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 20 oct. 2019, 11:00
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 21/09/2019 - Photo RL

Une formation pour devenir premier répondant
  • Image
Maurice Lorentz, maire de Volmerange, n’a pas hésité à s’inscrire à la formation pour devenir premier répondant. Photo RL
Les premiers répondants sont ceux qui, par le biais d’une application d’urgence, interviennent pour porter secours à une victime en attendant que le Samu ou les sapeurs-pompiers prennent le relais. Une formation leur était destinée au Mille-club.

Ils étaient une dizaine à se retrouver au Mille-club pour une formation aux premiers secours et obtenir leur PSC1 (Prévention et secours civiques de niveau 1). Une formation assurée par Malou Charton, ancienne infirmière et bénévole à la Protection civile.

Parmi les participants, les plus jeunes étaient là parce qu’ils souhaitent intégrer plus tard la Protection civile. D’autres s’étaient inscrits au titre des premiers répondants.

Un maillage mis en place par l’Association française de premiers répondants permettant, par le biais d’une application d’urgence, d’intervenir pour porter secours à une victime en attendant que les secours, Samu ou sapeurs-pompiers, arrivent sur les lieux et prennent le relais.

Ainsi, à Volmerange, la volonté de certains villageois a été de s’insérer dans ce dispositif. Aussi, si certains étaient titulaires d’un brevet de secourisme, d’autres se sont inscrits à cette journée de formation aux premiers secours leur permettant d’obtenir le sésame pour être premier répondant.

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 27 oct. 2019, 10:50
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 25/09/2019 - Photo RL

Solidarité - Au bout du monde et d’elles-mêmes pour une belle cause
  • Image
Annaïck Le Bourvellec (à gauche) et Angélique Breuil vont participer au raid La Saharienne mi-décembre au Costa Rica. Photo RL Avec fierté elles portent les couleurs de leur association à chaque événement sportif Photo RL
Annaïck Le Bourvellec aime se lancer des défis. Avec son amie Angélique Breuil, elle va participer courant décembre au raid La Saharienne au Costa Rica. Une épreuve que les deux personnels de santé vont également réaliser au profit de l’Association française des premiers répondants.

À la voir menue et souriante, à Destry, on a du mal à imaginer Annaïck Le Bourvellec en baroudeuse. Et pourtant, trail, VTT, nage et course, tir à l’arc, canoë et lancer de hache sont au programme des temps libres de la jeune mariée. Avec son amie Angélique Breuil, elle prépare activement la Saharienne qui se déroulera au Costa Rica du 13 au 20 décembre.

Ce challenge 100 % féminin en duo va voir 70 équipes se défier pendant cinq jours consécutifs avec nuits sous tente et découverte du pays ! Les deux copines se connaissent depuis douze ans. Elles se sont rencontrées aux urgences de l’hôpital Bon-Secours, où Angélique a accueilli Annaïck de retour d’un séjour de deux années en Guinée-Conakry. Les deux aides-soignantes ont immédiatement sympathisé puis partagé de nombreuses activités sportives.

Depuis, les deux baroudeuses n’ont jamais cessé de participer à différentes épreuves : la Messine, la Saharienne, le trail du mont Saint-Quentin, des marathons et autres courses pédestres…

Un budget à boucler

Elles ont surtout décidé de s’associer pour faire connaître l’AFPR (Association française de premiers répondants, lire ci-dessous ). Dans ce cadre, Annaïck et Angélique ont jusqu’à la fin du mois d’octobre pour obtenir le budget nécessaire de 7 200 € pour leur participation au raid.

Aidées par quelques sponsors, Annaïck et Angélique ont créé en outre une cagnotte en ligne. Dans l’éventualité où la somme obtenue ne permettrait pas leur participation, le montant acquis serait directement versé à l’AFPR. Loin d’être découragées, en poursuivant l’entraînement, elles lancent un appel aux dons et espèrent être entendues.

Cagnotte en ligne sur http://www.colleo.fr, puis taper ‘‘Les Baroudeuses à la Saharienne 2019 au Costa Rica’’.
Le Républicain Lorrain du 21/09/2019 - Photo RL

Une appli qui peut sauver des vies
  • Image
Les deux sportives vont porter les t-shirts officiels de l’Association française des premiers répondants. Photo RL
Annaick Le Bourvellec et sa coéquipière Angélique Breuil soutiennent l’AFPR (Association française de premiers répondants). L’AFPR a été créée en février 2016 à l’initiative d’acteurs concernés par le secours d’urgence à la personne, sapeurs-pompiers et infirmiers, souhaitant s’engager au-delà du maillage classique de la chaîne des secours français. Ensemble, ils ont mis en place une application à installer sur les téléphones portables.

Chaque secouriste ou professionnel de santé peut s’inscrire. Si un malaise survient dans un rayon de 200 à 300 m, il sera prévenu du lieu d’intervention. L’ambition est d’augmenter le taux de survie en cas d’arrêt cardiaque comme l’ont fait certains pays voisins, Allemagne, Luxembourg, Suisse…

Plus d’infos sur https://www.afprappli.com/

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 24 nov. 2019, 19:35
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 23/11/2019 - Photo RL

Quel est le rôle des premiers répondants ?
  • Image
L’application Premiers répondants étend son maillage sur le département de la Moselle. Photo RL
Frédéric Leybold, professionnel de santé, est venu promouvoir l’application Premiers répondants devant les Kanfenois. « Le Premier répondant est le maillon complémentaire qui manquait dans la chaîne des premiers secours », explique-t-il.

En cas d’arrêt cardiaque, la fonction cardiaque chute de 10 % par minute… En France, le taux de survie est de 5 à 7 %, en dehors d’une prise en charge très rapide par les secours sur appel au 15 ou au 18, ou d’une intervention minute d’une personne sur place apte à dispenser les gestes de premiers secours.

Selon Frédéric Leybold, professionnel de santé, venu promouvoir l’application Premiers répondants devant les Kanfenois, cette dernière est un moyen de secours aux victimes d’arrêt cardiaque qui pourrait faire passer le taux de survie à 40 %.

La condition : l’implication bénévole de personnes formées aux gestes de premiers secours et adhérant à l’application.

Un arrêt cardiaque est signalé aux sapeurs-pompiers et, en amont de leur intervention, déclenche l’application qui géolocalise et sollicite les premiers répondants dans un rayon de 500 m en zone urbaine et de 1 km en zone rurale, autour de la victime.

Dès validation de la disponibilité d’un premier répondant, l’application le guide jusqu’à la victime, indique la proximité d’un défibrillateur public et le mène jusqu’à celui-ci, pour délivrer à la victime un choc électrique dans les plus brefs délais.

« Un maillon complémentaire »

« L’idéal serait de venir avec un défibrillateur ou que le premier répondant applique le massage cardiaque pendant qu’une autre personne se charge de récupérer le défibrillateur », remarque Frédéric Leybold, par ailleurs président de l’Association française de premiers répondants.

Médecins, infirmiers ou détenteurs d’un diplôme de gestes de premiers secours peuvent intervenir avant l’arrivée des secours.

Une formation ou une séance de rafraîchissement des gestes de premiers secours accompagne chaque premier répondant.

« Ce système permet aux sapeurs-pompiers de trouver, à leur arrivée, des personnes en vie. Le premier répondant est le maillon complémentaire qui manquait dans la chaîne des premiers secours. Se trouvant au bon endroit et au bon moment, il est une chance de survie pour la victime. »

Contact : frederic.leybold@afpr.com

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 01 déc. 2019, 10:52
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 24/11/2019 - Photo RL/Julio PELAEZ

Une cagnotte pour continuer à faire battre les cœurs
  • Image
2 300 euros ont déjà été collectés. La campagne de financement participatif se tient jusqu’au 16 décembre, elle vise notamment à améliorer l’application créée pour sauver les victimes en arrêt cardiaque. Photo RL/Julio PELAEZ
Ils sont 1 550 secouristes inscrits sur l’application de l’Association française des premiers répondants (AFPR). Ils peuvent intervenir auprès de victimes en arrêt cardiaque qui se trouveraient à proximité, signalées par les sapeurs-pompiers. L’application donne l’alerte sur le téléphone des secouristes volontaires à condition qu’ils soient géolocalisés. Libre à eux de se manifester.

Depuis le début de l’année, sur toute la Moselle, les premiers répondants sont intervenus à 280 reprises. Ils sont arrivés avec les secours lors de 115 interventions. Environ 50 massages cardiaques ont été prodigués. Dix cœurs sont repartis.

Une campagne de financement participatif

L’association qui a créé ce système solidaire ne compte pas en rester là. Elle a lancé une campagne de financement participatif en ligne pour promouvoir l’action des premiers répondants, initier des formations, améliorer l’application numérique.

Actuellement, l’association AFPR travaille, par exemple, sur une base de données qui recense la présence de défibrillateurs et détaille leurs conditions d’accès. Les dons se font sur le site hello asso jusqu’au 16 décembre. Dès 50 €, les donateurs recevront une peluche à l’image de la mascotte de l’association (un lynx). Et une même peluche sera donnée à un enfant hospitalisé ou placé en foyer.

Contact : frederic.leybold@afpr.com

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 28 janv. 2020, 18:28
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 27/01/2020 - Photo RL

Deux Hettangeois héros grâce à leur smartphone
  • Image
Charline Celli, infirmière à Metz, et Sébastien Dérout, sapeur-pompier volontaire à Hettange-Grande. Photo RL
Sapeur-pompier volontaire et infirmière : deux jeunes Hettangeois avaient déjà un bon profil pour être amenés, un jour, à sauver une vie. Fin décembre, ils ont secouru ensemble un trentenaire en plein arrêt cardiaque, grâce à un troisième allié : une application sur leur smartphone.

Sébastien Dérout, sapeur-pompier volontaire de 24 ans, et Charline Celli, infirmière de 23 ans, de Hettange-Grande, au nord de Thionville, ont sauvé la vie d’un homme le 20 décembre dernier. Un beau cadeau de Noël, qui ne tient toutefois pas du miracle : c’est la technologie et leur réactivité qui ont permis à un homme de 35 ans de ne pas succomber à un arrêt cardiaque ce soir-là. L’application AFPR (application d’urgence des premiers répondants) qu’ils avaient téléchargée a en effet spécialement été créée pour intervenir rapidement sur ces pathologies, qui tuent chaque année 50 000 personnes. Sans massage cardiaque, la survie du patient diminue de 10 % chaque minute…

« Son épouse était surprise de me voir arriver si vite »

Alertés de la survenue d’un arrêt cardiaque, les régulateurs du Samu préviennent les volontaires premiers répondants les plus proches de la victime, par une notification sur leur smartphone. C’est ce qu’ont vécu les deux jeunes Hettangeois, le vendredi 20 décembre : « Alors que je regagnais mon domicile en voiture, j’ai reçu une alerte à 23h56 de l’AFPR, qui m’indiquait qu’il y avait une personne en arrêt cardiaque à deux rues de chez moi. Après avoir répondu que j’étais disponible, le GPS de l’application m’a guidé. Aussitôt sur place, j’ai pris le relais de son épouse, qui était surprise de me voir arriver si rapidement, et j’ai commencé le massage et la réanimation », explique Sébastien.

« Charline, qui travaille à Metz et était couchée à cette heure, avertie elle aussi, n’a même pas pris le temps d’enlever son pyjama : elle a empoigné ses clefs de voiture et m’a rejoint. Nous avons pratiqué le massage pendant 9 minutes, en alternant l’un et l’autre. On fait ce que l’on sait faire : il s’agit de sauver une vie ! »

Puis les secours sont arrivés et ont transporté le malade à l’hôpital de Mercy à Metz, où l’attendaient les équipes de cardiologie.

Aujourd’hui, grâce à ces deux jeunes gens, l’homme de 35 ans, qui souhaite rester anonyme, est sorti de l’hôpital, sans séquelle. Mais il a tenu à remercier les deux personnes qui se sont portées à son secours.

Contact : frederic.leybold@afpr.com
Des répondants déjà formés qui arrivent avant le Smur
Comment ça marche ?

Après avoir téléchargé l’application AFPR (premiers répondants) sur son smartphone, la personne formée aux premiers secours est en capacité de recevoir des notifications l’informant d’une urgence (un arrêt cardiaque) à proximité de l’endroit où elle se trouve, par le biais de la géolocalisation du téléphone. L’intervention rapide, avant même l’arrivée des pompiers ou du Smur, permet de multiplier les chances de survie de la victime.

Quel est le principe ?

Si la personne qui reçoit l’alerte accepte de se déplacer, elle l’indique par un simple clic sur son smartphone. Parmi toutes les personnes qui reçoivent la notification, la première qui répond devient celle qui va pratiquer la réanimation cardio-pulmonaire. Elle est alors guidée jusqu’au lieu d’intervention. Les deuxième et troisième personnes qui répondent sont invitées à aller chercher le défibrillateur public le plus proche. Là aussi, tout est géolocalisé. « L’arrivée précoce d’un défibrillateur auprès d’une personne en arrêt cardiaque double ses chances de survie », explique un créateur de l’appli. L’intervention des bénévoles prend fin au moment où les secours prennent le relais.

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 09 févr. 2020, 18:17
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 03/02/2020 - Photo RL

Et si vous preniez dix minutes pour sauver une vie ?
  • Image
Onze volontaires de la commune ont participé à la formation, afin d’obtenir le diplôme de Prévention et secours civiques de niveau 1. Photo RL
Plus d’une dizaine de Rurangeois ont souhaité se former aux réflexes et attitudes à adopter en cas d’urgence vitale. Ils se sont vus délivrer un diplôme qui fait d’eux des « premiers répondants », auxiliaires des services de secours.

Faisant suite à l’installation de deux défibrillateurs automatiques externes, et dans le cadre de « l’engagement citoyen », la municipalité a organisé une formation « Prévention et secours civiques de niveau 1 » (PSC 1), destinée à des candidats volontaires de Rurange, Montrequienne et Logne.

Un moniteur de l’UNASS (Union nationale des sauveteurs-secouristes) a formé onze personnes, sur deux samedis matin et une durée de huit heures, afin d’exécuter correctement les gestes de premiers secours. Ces cours étaient destinés à savoir protéger la victime et les témoins, alerter les secours d’urgence, empêcher l’aggravation de l’état de la victime et préserver son intégrité physique.

Au programme : prévention des accidents de la vie courante ; alerte et protection des populations ; obstruction des voies aériennes par un corps étranger ; hémorragies externes ; plaies, brûlures, traumatismes, malaise, perte de connaissance et arrêt cardiaque.

À l’issue de cette formation, une évaluation a eu lieu, afin de déterminer si chaque stagiaire était capable d’exécuter une intervention adaptée à différentes situations.

L’action citoyenne d’assistance à personne

Ce diplôme va permettre aux onze nouveaux secouristes volontaires de pouvoir intégrer la liste de l’AFPR (Association française des premiers répondants) et d’intervenir, sur demande du 15 ou du 18 (si urgence vitale), auprès de la victime avant l’arrivée des secours spécialisés.

Un second stage sera probablement organisé, à des dates à définir. Si vous désirez suivre cette formation, vous pouvez vous renseigner au 06 08 48 26 50.

Contact : frederic.leybold@afpr.com

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 18 févr. 2020, 15:34
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 14/02/2020 - Photo RL

Rurange-lès-Thionville - Les Premiers répondants apprennent à utiliser le défibrillateur communal
  • Image
Les nouveaux titulaires du PSC1 ont suivi une formation sur l’utilisation des défibrillateurs communaux. Photo RL
Après avoir passé avec succès le PSC1 (Prévention et secours civiques de niveau 1), les nouveaux secouristes, volontaires, ont pu poursuivre leur formation en s’essayant à l’utilisation des défibrillateurs se trouvant dans les deux villages, avec l’AFPR (Association française des Premiers répondants). Objectif : devenir Premiers répondants et pouvoir venir en aide à une victime en attendant les secours.

Les Premiers répondants sont des professionnels de santé, mais aussi des secouristes professionnels ou bénévoles. Ces derniers souhaitent être plus de 3 000 au début de cette année, au niveau national.

Selon les sources du Smur 57, les arrêts cardiaques représentent 46 000 morts par an. Chaque minute de perdue représente 10 % de survie en moins, alors que les secours mettent en moyenne neuf minutes à intervenir. Au bout de cinq minutes, les séquelles neurologiques sont irréversibles. Chaque jour, deux à trois arrêts cardiaques sont enregistrés sur l’ensemble du département. Au moment où l’un d’eux est signalé au Sdis ou au Smur, une alerte est envoyée sur le serveur pour retrouver, à proximité, les Premiers répondants, situés à 500 m en milieu urbain et à 1 km en milieu rural, qui interviendront en attendant les secours.

Contact : frederic.leybold@afpr.com

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 05 nov. 2020, 10:22
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 12/10/2020 - Photo RL

Prendre dix minutes pour sauver une vie
  • Image
Les deux intervenants de l’AFPR ont sensibilisé le public aux gestes qui sauvent et à l’action de l’association. Photo RL
L’Association française de premiers répondants a fait le déplacement à la salle Ste-Barbe d’Entrange pour présenter au public son action et recruter de nouveaux membres. Une action qui est centrée sur le porter secours aux victimes d’arrêts cardiaques. En France, les arrêts cardiaques représentent 50 000 décès par an, soit 150 par jour. Chaque minute sans réanimation fait perdre 10 % de chance de survie à la victime. Le but des premiers répondants étant de se rendre sur les lieux et porter secours dans l’attente des pompiers qui prennent le relais. Pour se faire l’AFPR a créé une application mobile qui géolocalise les premiers répondants à proximité et leur envoie une alerte. À travers cette soirée, l’AFPR cherche à recruter de nouveaux premiers répondants. Un brevet de secouriste est demandé. Dans le cas contraire l’association met en place à travers divers organismes formateurs (pompiers, Croix-Rouge…), une préparation à ce diplôme.

Contact : frederic.leybold@afpr.com

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 02 mars 2021, 16:24
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 24/02/2021 - Par Joan MOÏSE - Photo RL/Frédéric LECOCQ

Le Val de Fensch connecté aux premiers secours
  • Image
Sur le Val de Fensch, le président Michel Liebgott (à gauche) a annoncé que 60 premiers répondants, représentés par le chef de projet Arnaud Baton, seraient prochainement formés. Il a engagé 3 000 € en ce sens. Photo RL
  • Image
Les premiers répondants bénéficient tous d’une formation et d’un accompagnement. Après une intervention, un débriefing peut être proposé. Photo RL/Frédéric LECOCQ
Le Val de Fensch a noué un partenariat avec l’association française de premiers répondants : des citoyens formés aux premiers secours, prêts à intervenir auprès d’une personne victime d’un arrêt cardiaque. Ces secouristes sont connectés à une application mobile qui les géolocalise.

Le contexte

Quelques chiffres d’abord. On dénombre près de 50 000 arrêts cardiaques chaque année en France. Le taux de survie est de 7 %, sachant que chaque minute sans réanimation réduit de 10 % les chances de survie. Ensuite, un constat peu glorieux : seuls 30 % des Français sont formés aux gestes qui sauvent. Quant au délai moyen d’intervention des secours traditionnels, il est de neuf minutes. L’action de l’association française de premiers répondants (AFPR ), née de l’initiative de sapeurs-pompiers et d’infirmiers mosellans, s’inscrit justement dans cette course contre la montre. Son objectif ? « Comprimer le temps entre le malaise et l’arrivée des secours », résume son responsable de projet, Arnaud Baton.

Une appli mobile

Plus le secouriste est proche de la victime, plus grandes sont les chances de la sauver. Encore faut-il savoir où chacun se trouve. C’est le rôle de l’application pour smartphone conçue en 2018 , qui géolocalise les bénévoles à proximité du lieu de l’accident. À ce jour, le réseau mosellan est composé de 2 100 citoyens formés aux premiers secours, 80 sur le Val de Fensch, première communauté d’agglomération à prendre part au projet. La CAVF va d’ailleurs reverser 3 000 € à l’association pour permettre la formation des bénévoles. L’association ambitionne de « doubler les effectifs pour étoffer le réseau ». Les intercommunalités ont été approchées, elles seront chargées, en lien avec les maires, de constituer un vivier de candidats.

Comment ça marche ?

Pour le grand public, rien ne change : toute personne témoin d’un accident cardiaque compose le 18 (pompiers) ou le 15 (Samu), pleinement intégrés dans l’opération. Le déclenchement des premiers répondants se fait par une alerte sur le serveur de l’association, qui géolocalise les bénévoles situés à proximité du lieu de l’arrêt cardiaque : « 300 mètres pour les grosses agglomérations, 1 kilomètre dans les secteurs plus excentrés », précise Arnaud Baton. Les volontaires sont ensuite guidés par GPS jusqu’à la victime. « Jusqu’à trois premiers répondants pourront se rendre sur site », précise encore Arnaud Baton. « Le premier effectue le massage cardiaque, le deuxième se charge de trouver et d’actionner le défibrillateur public le plus proche, le troisième relaye le premier jusqu’à l’arrivée des secours. »

Qui peut être premier répondant ?

Toute personne en capacité d’être réactif et disponible. Nul besoin d’être déjà formé, l’AFPR, en lien avec les organismes compétents, prend en charge ce volet (a minima, le certificat prévention et secours civiques de niveau 1 est requis) avec remises à niveau régulières. Le suivi comprend des débriefings post-intervention ou encore un soutien psychologique.

Par Joan MOÏSE

Contact : frederic.leybold@afpr.com

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 18 avr. 2021, 21:11
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 13/04/2021 - Photo RL

Hettange-Grande - Sébastien, 1er répondant, ange gardien du quotidien
  • Image
Sébastien Dérout, agent de sécurité au Luxembourg mais aussi pompier au centre de secours de Hettange, est intervenu 10 fois via l’application AFPR. Photo RL
Des premiers répondants appelés à intervenir avant l’arrivée des pompiers selon leur géolocalisation : c’est le principe de l’application AFPR. Ils prodiguent les gestes de premiers secours en cas de malaise cardiaque. Coup de projecteur sur Sébastien Dérout, qui en est à sa dixième intervention.

Sébastien Dérout, 25 ans, agent de sécurité incendie au Luxembourg et sapeur-pompier bénévole depuis 2012 est premier répondant depuis la création de l’application AFPR sur smartphone. le but de l’application est de venir en aide aux personnes en arrêt cardiaque. Pour un arrêt cardiaque, chaque minute qui passe réduit de 10 % les chances de survie. Dans l’attente des urgences, tous les détenteurs de l’application peuvent intervenir et parfois sauver la personne.

Ce samedi, en fin de journée, Sébastien rentre chez lui après des manœuvres à la caserne, quand il est averti d’une urgence à 18 h 53 via son application AFPR « êtes-vous disponible ? » J’ai répondu oui, aussitôt j’ai été informé de l’adresse de la personne qui s’est inscrite sur mon GPS. Je suis parti directement, ce n’était pas loin. Une personne de 87 ans était en arrêt cardiaque. »

Sur place à 18 h 55, avec un second répondant pompier d’Hagondange demeurant à Hettange, 3 minutes avant les premiers secours, ils ont constaté l’arrêt cardiaque et prodigué les premiers gestes en appuyant sur la cage thoracique de la victime, augmentant ses chances de survie.

Deux minutes après l’appel, il confirmait au 15 l’arrêt cardiaque et s’assurait qu’un Smur était engagé sur l’intervention. Thionville dispose de deux Smur sur tout le secteur, sinon il vient de Metz ou un médecin traitant s’occupe de la régulation. Ils ont été rapidement rejoints par les collègues sapeurs de Hettange, puis le Smur de Thionville et les pompiers de Thionville.

Un maillon essentiel

Depuis 2017, Sébastien, caporal-chef, en est à sa 10e intervention. 7 à Hettange dont un jeune homme de 35 ans dont la vie a été sauvée, deux interventions à Knutange, et une à Algrange. « Avec mon collègue Julien Mathis, on a pu faire rebattre le cœur d’une dame à la maison de retraite et on a sauvé la vie d’un jeune homme de 30 ans ». « À chaque fois c’est un petit coup d’adrénaline. Il y a possibilité de sauver une personne, alors je fonce. »

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 13 juil. 2021, 09:37
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 04/07/2021 - Par Joan MOÏSE - Photo RL/Armand FLOHR

Audun-le-Tiche - Pays-Haut : qui veut devenir secouriste de proximité ?
  • Image
Sans prise en charge immédiate, plus de 92 % des arrêts cardiaques sont fatals. C’est tout l’intérêt de former des secouristes de proximité. Photo RL/Armand FLOHR
L’Association française de premiers répondants (AFPR) continue d’essaimer pour former des secouristes de proximité. Son créneau ? L’assistance aux personnes victimes d’arrêt cardiaque. La Communauté de communes du Pays-Haut Val d’Alzette, l’un de ses partenaires, lance un appel aux volontaires.

Qui sont les premiers répondants ? Il s’agit d’ un réseau de civils formés aux gestes qui sauvent. Ils interviennent entre le déclenchement de l’alerte par un témoin et l’arrivée des secours auprès d’une personne victime d’un arrêt cardiaque. L’objectif : diminuer le taux de mortalité en comprimant le temps entre le malaise et la première prise en charge. « En Moselle, on compte en moyenne quatre victimes par jour », rappelle Arnaud Baton, responsable de projet à l’Association française de premiers répondants (AFPR). Le réseau, que l’association s’attache à élargir en nouant des partenariats avec les intercommunalités, compte à ce jour 2 200 premiers répondants en Moselle.

Comment ça marche ? Pour le grand public, la règle reste la même : toute personne témoin d’un accident cardiaque compose le 18 (pompiers) ou le 15 (Samu), pleinement intégrés dans l’opération. C’est « en coulisses » que se joue la suite. Les bénévoles les plus proches du lieu de l’accident sont géolocalisés et alertés sur leur smartphone via une application mobile. « En décembre, se souvient Arnaud Baton, j’ai été alerté en pleine nuit pour porter secours à un homme de 53 ans, il était à 500 mètres de chez moi. Je lui ai fait un massage cardiaque avant l’arrivée des secours, ça lui a sauvé la vie. » Édifiant lorsque l’on sait que « chaque minute sans réanimation réduit de 10 % les chances de survie ».

Comment s’effectue la prise en charge de la victime ? Dans une configuration idéale, jusqu’à trois premiers répondants, qui auront été guidés par GPS, peuvent se rendre sur site. Le premier effectue le massage cardiaque, le deuxième actionne le défibrillateur le plus proche et le troisième relaye le premier jusqu’à l’arrivée des secours traditionnels.

Qui peut postuler ? Inutile de justifier d’une formation pour lever le doigt : l’AFPR assure ce volet en lien avec les organismes compétents. Il faut toutefois être réactif et disponible. Des remises à niveau et un suivi régulier sont proposés, notamment des débriefings post-intervention ou un soutien psychologique.

Quels sont les effectifs ? « La crise a compliqué les choses, les formations ont été arrêtées. Elles ont été autorisées à reprendre le 19 mai », souligne Arnaud Baton. Le Val de Fensch ne compte qu’une vingtaine d’inscrits sur un objectif de 60. La Communauté de communes du Pays-Haut Val d’Alzette espère, elle, en recruter 57. Seules 20 personnes se sont manifestées.

Contact : http://www.afprappli.com

Par Joan MOÏSE

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 28 août 2021, 14:46
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 18/08/2021

Thionville - Formations premiers secours : l'AFPR plaide pour une déduction fiscale
  • Image
Arnaud Baton, responsable projet à l’Association Française de Premiers Répondant. Ici au lancement de l’application AFPR - Appli.1 /1
Comment encourager la formation aux gestes de premier secours ? L’Association Française au Premiers Répondants a son idée : déduire fiscalement le coût des formations. On fait le point.

En 2018, l’Association Française au Premiers Répondants avait fait le buzz avec le lancement de l’application AFPR - Appli , une application permettant de localiser rapidement des secouristes en cas d’arrêt cardiaque. Aujourd’hui, l’AFPR, association à but non lucratif luttant pour la survie des personnes victimes d’un arrêt cardiaque, lance un autre pavé dans la mare. « On s’est rendus compte que beaucoup de Français ne pouvaient pas ou ne voulaient pas se former en raison des coûts des formations » déroule Arnaud Baton, responsable projet à l’AFPR. Un coût de 65 euros par journée de formation, habituellement pris en charge par l’employeur. Or ces derniers ne sont astreints à former aux premiers secours qu’un salarié sur vingt. « Seulement 25 à 27 % des Français sont formés. En Allemagne, c’est près de 80 % de la population. Nous sommes très en retard ! »

Une demande officiellement envoyée

Pour remédier à cette situation, l’AFPR a son idée. « La plupart des formations Préventions et Secours civiques de niveau 1 (PCS1) sont réalisées par des associations de sécurité civile, comme la Croix-Rouge par exemple. Les dons à la Croix-Rouge sont défiscalisés. Pourquoi ne pas étendre ce mécanisme aux formations ? Ainsi, cela reviendrait à 20€ par personne. » La demande a été officiellement transmise à Olivier Véran, Gérald Darmanin et Olivier Dussopt par un courrier en date du 26 avril 2021. « À ce jour, nous n’avons toujours pas de réponse. Ce n’est qu’une première démarche et si elle échoue, nous essaierons de faire avancer notre idée par d’autres moyens. »

Contact : http://www.afprappli.com

Re: AFPR - Association Française des Premiers Répondants

Publié : 18 sept. 2021, 10:02
par Bubu
Le Républicain Lorrain du 06/09/2021 - Photo RL

Fontoy - Devenir un citoyen sauveteur : réunion le 17 septembre
  • Image
Plusieurs défibrillateurs ont été placés sur le territoire communal et dans les salles, c’était une volonté des élus. Photo RL
Comment encourager la formation aux gestes de premier secours ? L’Association Française au Premiers Répondants a son idée : déduire fiscalement le coût des formations. On fait le point.

La municipalité de Fontoy organise, en partenariat avec la Communauté d’Agglomération Portes de France Thionville et l’Association française des Premiers Répondants, une séance d’information autour de l’arrêt cardiaque.

Une formation gratuite aux gestes qui sauvent

L’idée est d’offrir gratuitement à tous les Fenschois intéressés une formation aux gestes qui sauvent, et leur permettre de devenir ainsi un « premier répondant » ayant vocation à intervenir lors d’un arrêt cardiaque avant l’arrivée des secours. Plusieurs défibrillateurs ont été placés sur le territoire communal et dans les salles, c’était une volonté des élus.

Car ce sont les premières minutes qui comptent ! S’initier aux gestes qui sauvent, comment réagir en cas d’arrêt cardiaque, utiliser les défibrillateurs, devenir un citoyen sauveteur et enfin découvrir l’Association française des Premiers Répondants (AFPR) seront les mots-clés de la prochaine réunion publique d’information qui aura lieu le vendredi 17 septembre, à 18 h, à la salle des fêtes de Fontoy, rue du Moulin.