Fameck - Octobre rose : le CCAS de Fameck sensibilise les seniors
Octobre rose : le CCAS de Fameck sensibilise les seniors
Chaque année, l’opération Octobre rose a pour but la prévention du cancer du sein, le plus mortel chez les femmes, mais qui peut aussi toucher les hommes. Le CCAS de la Ville de Fameck a participé à cette campagne nationale de santé publique en organisant une séance spéciale à la salle Victor-Hugo, lors de son action papotages du 23 octobre, à laquelle plus de cinquante seniors ont assisté. Kheira Khamassi, adjointe au maire, et le CCAS ont proposé un quiz pour évaluer les connaissances de chacun et souligner l’importance du dépistage à tout âge de la vie. Ainsi, ils ont espéré atteindre non seulement les seniors présents, mais aussi leurs proches grâce au bouche-à-oreille. Chaque participant a reçu un ruban rose et une pâtisserie rose pour symboliser ce combat essentiel.
Une cinquantaine de participants a effectué la balade gourmande dans le cadre d'Octobre Rose
Organisée par la municipalité et le CCAS, une balade gourmande a rassemblé une cinquantaine de participants dans le cadre de la campagne nationale Octobre rose. Les marcheurs avaient cinq kilomètres à parcourir jalonnés d’arrêts gourmands sur un itinéraire principalement urbain. L’opération Octobre rose est destinée à sensibiliser des femmes au dépistage du cancer du sein et à récolter des fonds pour la recherche.
Thionville - Lutte contre le cancer du sein : les apprentis coiffent pour le projet « Boucles roses »
Les meilleures coiffures sont envoyées sur le site qui recense toutes les participations à l’opération Boucles roses pour la lutte contre le cancer du sein. Photo Armand Flohr
Des mèches rose fluo sur une chevelure blonde, un chignon relevé teinté d’un rose soutenu, des tresses colorées : les neuf apprentis en brevet professionnel de coiffure se sont lâchés. Huit filles et un garçon participent au projet « Boucles roses », relayé par le centre de formation de la chambre des métiers de Thionville. L’opération fait écho à Octobre rose qui concentre une multitude d’initiatives pour la lutte contre le cancer du sein.
Chaque année, la mutuelle santé des salariés de la coiffure initie ces Boucles roses au profit de l’Institut Curie. Plusieurs challenges sont proposés. Pour la troisième année consécutive, les apprentis thionvillois ont saisi la brosse , enfilé les gants, boosté leur créativité. Le projet est un bon exercice pratique. Les élèves travaillent le brushing, le chignon, les techniques de coloration. « Tout cela est au programme de leur apprentissage », relève Gaëlle Harter, professeur de coiffure qui encadre le groupe au côté de Françoise Merandi. Des notes individuelles seront d’ailleurs attribuées.
Apach - Des bonnets confectionnés pour les malades du cancer
À Apach, elles ont confectionné des bonnets destinés aux personnes en chimiothérapie. Photo Sabrina Frohnhofer
Élodie, Anne et Sabine et les autres ont accepté de mettre leurs talents de couturières au service de l’opération portée par l’association parisienne Mon Bonnet rose.
C’est en réceptionnant un courriel que la municipalité d’Apach a eu l’envie de participer. « On a lancé un appel aux dons de t-shirts, se souvient Anne Wolf, adjointe au maire qui a piloté le projet. On en a collecté une centaine sur Apach et au bar du château fort à Sierck. Puis on a organisé trois ateliers de confection dans les locaux de la mairie. » Elles étaient cinq la première fois, puis dix les deux après-midi suivants.
Le challenge sera reconduit
Le lundi 30 octobre, l’heure était au bilan : « On a fabriqué 73 bonnets, certaines étaient à la découpe, d’autres à l’assemblage, on est ravi de cet élan solidaire. » Les bonnets seront envoyés à l’Institut de cancérologie de Nancy. « La marche rose est passée par Apach cette année, grâce à Sport et loisirs en pays de Sierck. On avait envie de poursuivre l’action. Les bonnets seront offerts aux personnes en traitement. » Fort de ce succès, les couturières bénévoles ont déjà assuré vouloir reconduire l’initiative. « On est venu de la commune, mais aussi de Manderen, Sierck, Malling et il y avait toujours des gâteaux et du café. Ça a été très convivial », apprécie Anne Wolf.
